Ariana Buller

Débuts dans le racquetball : Je joue au racquetball depuis aussi longtemps que je me souvienne. Mon père m’a appris à jouer quand j’avais environ sept ans.

Raison pour laquelle je joue : J’adore la communauté et les possibilités de voyager qu’offre le racquetball. J’ai pu me faire des amis et voir régulièrement des gens de partout au Canada tout en créant des souvenirs avec ma famille dans des endroits où je ne serais jamais allé sans le racquetball. Cela me permet également d’exceller dans d’autres sports grâce à l’expérience athlétique que cela m’apporte. J’apprécie également l’aspect compétitif du racquetball.

Habitudes d’entraînement : Je m’entraîne au moins quatre fois par semaine en effectuant des exercices en solo ou en jouant avec ma famille et mes amis. En plus du racquetball, je suis plusieurs cours de technique de danse qui viennent compléter mon entraînement rigoureux.

Meilleur souvenir lié au racquetball : Un moment que je n’oublierai jamais est celui de mon tout premier tournoi à Calgary. J’avais environ huit ans et j’avais réussi à me qualifier pour la finale de la division junior. J’étais persuadée que j’allais perdre, car j’affrontais… un adolescent qui mesurait 60 cm de plus que moi. J’ai continué à gagner le match et c’est ainsi qu’a commencé ma carrière de joueuse de racquetball « professionnelle ». Du moins, c’est ainsi que je le voyais à huit ans.

Talent caché en dehors du racquetball : J’aime beaucoup la danse de compétition et j’excelle dans les genres jazz, ballet et contemporain. En plus de la danse, je participe également aux productions théâtrales de mon école et j’adore l’équitation.

Quand je ne joue pas au racquetball, je suis généralement : Bien que je consacre la plupart de mon temps au racquetball, à la danse et aux devoirs scolaires, quand je ne fais pas ces choses-là, je fais probablement du quad, je lis, je passe du temps avec mes amis, je dresse mon chien ou je regarde un bon film avec ma famille.

Une chose surprenante à mon sujet : j’aime faire des puzzles de 1 000 pièces en écoutant de la musique.

Conseil aux autres athlètes en devenir : même si c’est l’une des phrases de motivation les plus basiques, je pense que c’est la plus importante : n’abandonnez pas. À plusieurs reprises, pendant mon entraînement de racquetball, je me suis dit : « Je devrais abandonner ». Il m’a fallu des années de pratique, d’engagement et de travail acharné pour atteindre le niveau où je suis aujourd’hui, mais j’ai vécu tellement de choses formidables en cours de route. Avec le recul, je suis très heureuse de ne pas avoir abandonné, et je pense que ces trois mots sont essentiels pour atteindre vos objectifs.

Qui a joué un rôle important dans votre parcours de racquetball ? Mon père a été le plus important dans mon développement physique en tant que joueur de racquetball. Des services puissants aux balles au plafond, il a amélioré ma technique globale. Mon autre entraîneur, Scott Smith, a également amélioré mon jeu dans son ensemble. Ma mère et ma grand-mère m’ont aidé sur le plan émotionnel et mental.