Alexis Iwaasa

Débuts en racquetball : J’ai grandi en regardant mon frère aîné jouer, et ma mère savait à quel point je détestais les sports d’équipe, c’est à ce moment-là que nous avons su… 

Habitudes d’entraînement :  Je vais au gymnase le matin et je m’entraîne sur le terrain après le travail.

Meilleur moment ou souvenir de racquetball :Je me souviens de m’être senti exalté, d’avoir regardé en arrière et d’avoir vu ma mère avec son plus grand sourire, sachant que tout le temps et l’argent qu’elle avait investis pour moi avaient porté leurs fruits et que je ne pouvais qu’aller de l’avant à partir de là.

Talents hors du racquetball : Je travaille trop!

Quand tu ne joues pas au racquetball tu es probablement en train de … ? Cuisiner, regarder une bonne série.

Quelle chose à propos de toi est-ce que les gens ne savent pas ou qu’ils pourraient trouver surprenante?Je suis douée pour les sports de raquette (curieusement) et le volley-ball serait mon deuxième choix pour pratiquer un sport professionnel.

Quel conseil donnerais-tu aux athlètes qui veulent jouer à ton niveau ? Concourir à un niveau supérieur demande beaucoup de temps, de dévouement et de sacrifices. Ce qui fonctionne pour eux ne fonctionne pas toujours pour vous. Tu trouveras ta propre voie, mais tu dois te demander si c’est ce que tu veux vraiment. Ma mère m’a aidé à comprendre que personne ne veut s’entraîner tous les jours et se priver de passer du temps avec ses amis ou d’avoir une vie sociale. Mais c’est ce qui différencie les pros des compétiteurs, c’est le degré d’investissement et de sacrifice que l’on est prêt à consentir pour être le meilleur.

Qui a eu de l’importance dans ton développement à titre d’athlète de racquetball ?Je dirais que c’est ma mère qui m’a le plus aidé dans ce sport. Elle a toujours été ma première fan et m’a envoyé partout où j’avais besoin d’aller. Je me rends compte aujourd’hui qu’elle s’est souvent privée pour que je puisse faire carrière dans le racquetball. Elle était ma motivation, chaque fois que je n’avais pas envie d’aller à l’entraînement ou que je n’étais pas motivé, elle m’a poussé et m’a toujours poussé à y aller, même si je m’obstinais à ne pas le faire, et je l’en remercie. Même si elle ne pouvait pas venir à beaucoup de tournois, je savais qu’elle était fière de moi et que j’allais réussir. Sans ses sacrifices et son amour pour moi, je ne serais jamais arrivée là où je suis aujourd’hui et je lui en suis très reconnaissante.