Alaya Buller

Début dans le racquetball – Mon père a toujours joué au racquetball et a été le président de l’Alberta Racquetball Association et même le vice-président de Canada Racquetball pendant un certain temps. Il nous emmenait, mes frères et sœurs et moi, sur les courts à l’occasion et m’a finalement emmené aux championnats nationaux juniors à Burlington. C’est là que j’ai appris que je devais m’entraîner davantage si je voulais participer à des compétitions de ce niveau. Même si j’ai perdu, mon père m’a dit que j’avais du talent et que je pouvais très bien jouer si je le voulais. À partir de là, j’ai décidé de me lancer à fond et j’ai relevé le défi de m’entraîner régulièrement et de participer à des tournois.

Raison de jouer – La raison pour laquelle je joue est principalement due à mon père. Il a toujours joué au racquetball et je le regarde faire depuis que je suis jeune. Il a toujours fait l’effort de nous emmener, moi et mes frères et sœurs, à des tournois et il nous a entraînés tout au long du parcours. J’aime la vitesse du jeu. La façon dont la balle rebondit lorsqu’elle est frappée correctement et la puissance que je peux obtenir en un seul élan. Les mouvements de jambes sur le terrain donnent l’impression de voyager si vite et si loin, même si l’on se trouve dans une boîte de 20 pieds par 40 pieds. Gagner ou perdre le match, l’effort, la stratégie, tout cela est exaltant.

Habitudes d’entraînement – Je m’entraîne souvent avec ma sœur, Lahni Buller. Nous nous entraînons ensemble plusieurs fois par semaine pendant la saison de racquetball. Je m’entraîne également avec mon père, Jeff Buller. En outre, les athlètes de Grande Prairie Racquetball se rendent collectivement sur les courts tous les dimanches après-midi pendant quelques heures pour jouer les uns contre les autres et s’entraîner.

Meilleur souvenir de racquetball – Mes meilleurs souvenirs de racquetball sont toujours ceux du double. Même si j’aime jouer seul, gagner ou perdre avec un partenaire est beaucoup plus agréable pour moi. C’est principalement parce que la pression est sur deux personnes au lieu d’une seule, et qu’il est plus facile de rire d’une défaite ou d’apprécier une victoire. Jusqu’à présent, j’ai eu le privilège de pouvoir partager cette expérience avec Ofelia Wilscam et Noah McEwen. Mon meilleur souvenir de racquetball est d’avoir remporté le double B/C avec Noah lors des championnats provinciaux de l’Alberta.

Talents non liés au racquetball – En dehors du racquetball et des sports, j’aime l’art. J’ai étudié l’art au niveau 30 à l’école, j’ai peint à l’acrylique, à l’aquarelle et au fusain, j’ai dessiné des dragons et des mangas, j’ai sculpté des personnages en argile et en papermache, j’ai fait de la photographie, de l’art numérique et bien d’autres choses encore. J’ai également participé à un concours de logo, que j’ai remporté, et j’ai vendu certaines de mes œuvres d’art. J’aime la créativité qui consiste à organiser, construire, coordonner les couleurs et concevoir à peu près n’importe quoi.

Temps libre en dehors du racquetball – Lorsque je ne joue pas au racquetball, je travaille, je passe du temps avec des amis ou je suis à la maison avec ma famille. Je travaille dans une librairie et comme aide-soignante pour deux personnes. J’aime également pratiquer d’autres sports de manière récréative, notamment le football, le volley-ball, le spike-ball et le badminton.

Conseils aux autres athlètes – Tout athlète souhaitant jouer à un niveau supérieur doit consacrer une grande partie de son temps à son sport. C’est souvent difficile à faire avec une vie bien remplie, mais quelques jours par semaine doivent être consacrés à l’entraînement au minimum. Et par entraînement, j’entends des exercices. Les exercices avec un partenaire sont utiles pour se familiariser avec les sensations d’un jeu réel, mais l’entraînement individuel est tout aussi efficace. C’est la répétition des exercices et les conseils d’un entraîneur qui font un meilleur joueur.