Ville natale : Hull<\/strong><\/p>\n\n
Cat\u00e9gorie: Athl\u00e8te<\/strong><\/p><\/div>\n\n
L’histoire de Jos\u00e9e Grand’Ma\u00eetre est sans pareille en racquetball au Canada.<\/p>
Au cours de sa carri\u00e8re de vingt-sept ans, Grand\u2019Ma\u00eetre a repr\u00e9sent\u00e9 le Canada trente-neuf fois sur le plan international, ce qui lui donne le record du plus grand nombre d’apparences internationales pour l’\u00e9quipe nationale en racquetball. \u00c0 sa retraite, elle \u00e9tait l’athl\u00e8te qui a \u00e9t\u00e9 le plus longtemps membre de l’\u00e9quipe nationale de Racquetball Canada.<\/p>
Au sein de l’\u00e9quipe nationale, Grand\u2019Ma\u00eetre a amass\u00e9 quarante-cinq podiums au niveau international, dont beaucoup gagn\u00e9s au Championnat du monde. \u00c0 sa premi\u00e8re apparition pour le Canada sur le plan international, au Championnat du monde de 1988, elle a remport\u00e9 la m\u00e9daille d’argent du double f\u00e9minin ouvert et de l’\u00e9preuve f\u00e9minine par \u00e9quipes, ainsi que la m\u00e9daille d’argent \u00e0 la Coupe des nations. Elle est la seule joueuse canadienne \u00e0 avoir particip\u00e9 \u00e0 quatre \u00e9ditions des Jeux panam\u00e9ricains, o\u00f9 elle a contribu\u00e9 aux succ\u00e8s canadiens en gagnant des m\u00e9dailles \u00e0 trois de ces Jeux, dont une m\u00e9daille de bronze au double f\u00e9minin en 2003.<\/p>
Grand\u2019Ma\u00eetre est triple championne canadienne du simple f\u00e9minin ouvert, mais elle \u00e9tait surtout une r\u00e9elle puissance en double. Elle a en effet remport\u00e9 le titre du double f\u00e9minin ouvert \u00e0 quinze reprises, ce qui constitue un record. Au total, elle est mont\u00e9e quarante-et-une fois sur le podium des \u00e9preuves de simple et de double au Championnat canadien, sur une p\u00e9riode de vingt-huit ans, remportant 18 m\u00e9dailles d’or, 13 d’argent et 10 de bronze.<\/p>
Joueuse tr\u00e8s aguerrie, Grand\u2019Ma\u00eetre avait comme plus grande force une strat\u00e9gie exceptionnelle du jeu. Elle excellait notamment \u00e0 utiliser les angles sur le terrain, et contr\u00f4lait \u00e0 merveille ses coups, passant de la puissance \u00e0 la finesse pour d\u00e9stabiliser ses adversaires. C’est notamment gr\u00e2ce \u00e0 ces talents strat\u00e9giques, que Grand\u2019Ma\u00eetre a \u00e9t\u00e9 class\u00e9e troisi\u00e8me au Canada pendant plusieurs ann\u00e9es.<\/p>
Grand\u2019Ma\u00eetre a d\u00e9velopp\u00e9 une approche tr\u00e8s diversifi\u00e9e de la comp\u00e9tition, pouvant passer de l’offensive \u00e0 la d\u00e9fensive ou vice versa selon le type d’adversaire qu’elle devait affronter. Elle excellait \u00e0 adapter son style de jeu \u00e0 ses divers partenaires de double, qualit\u00e9 qui est attest\u00e9e par le fait qu’elle a remport\u00e9 le titre du double f\u00e9minin au Championnat canadien avec six partenaires diff\u00e9rents, et qu’elle est mont\u00e9e sur les podiums internationaux en compagnie de neuf partenaires diff\u00e9rents.<\/p>
Tous les membres des \u00e9quipes nationales respectaientGrand\u2019Ma\u00eetre au plus haut point, \u00e0 titre de de grande championne, mais aussi de parfaite co\u00e9quipi\u00e8re. Elle donnait toujours un exemple positif aux autres, leur montrant le chemin de la r\u00e9ussite par son leadership et son engagement envers le racquetball. Sa constance et son professionnalisme ont pav\u00e9 la voie du succ\u00e8s pour le Canada.<\/p>
Mis \u00e0 part ses grands accomplissements sur le terrain,Grand’Ma\u00eetre a aussi soutenu la croissance du racquetball \u00e0 titre d’entra\u00eeneure, de mentor et de repr\u00e9sentante d’athl\u00e8tes. Comme entra\u00eeneure de niveau 3 du PNCE, elle a occup\u00e9 le poste d’entra\u00eeneure de l’\u00e9quipe canadienne \u00e0 huit championnats du monde juniors, et a \u00e9galement encadr\u00e9 l’\u00e9quipe du Qu\u00e9bec aux Jeux du Canada de 1991. Elle a aussi contribu\u00e9 au d\u00e9veloppement du racquetball \u00e0 titre de repr\u00e9sentante des athl\u00e8tes au sein du comit\u00e9 de haute performance de Racquetball Canada pendant plusieurs ann\u00e9es. Racquetball Canada a reconnu les contributions de Grand\u2019Ma\u00eetre en lui d\u00e9cernant en 2005 le prix de contribution au racquetball f\u00e9minin, qui s’appelle maintenant le prix Susan Livingston.<\/p>
Au-del\u00e0 de sa carri\u00e8re d’athl\u00e8te, Grand\u2019Ma\u00eetre a des liens tr\u00e8s \u00e9troits avec le sport. Elle travaille en effet pour le Comit\u00e9 olympique canadien o\u00f9 elle apporte son soutien aux athl\u00e8tes canadiens. Pr\u00e9c\u00e9demment, elle a travaill\u00e9 pendant dix-sept ans pour l’Institut national du sport du Qu\u00e9bec.<\/p>
Grand\u2019Ma\u00eetre a particip\u00e9 \u00e0 sa derni\u00e8re comp\u00e9tition internationale en 2014, remportant la m\u00e9daille de bronze du double f\u00e9minin au Championnat panam\u00e9ricain. Elle a annonc\u00e9 officiellement sa retraite en 2015. Son attitude professionnelle et son engagement envers l’entra\u00eenement et la comp\u00e9tition ont fait deGrand\u2019Ma\u00eetre un mod\u00e8le pour tous les athl\u00e8tes et entra\u00eeneurs canadiens qui souhaitent suivre ses traces.<\/p>
Cliquez ici<\/strong> pour lire le mot d’acceptation de Jos\u00e9e Grand’Ma\u00eetre lors de la c\u00e9r\u00e9monie d’intronisation au Temple de la renomm\u00e9e 2018.<\/p>
Galerie de photos \u00e0 venir!<\/strong><\/p>
2014<\/strong><\/p>
2013<\/strong><\/p>
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2011<\/strong><\/p>
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Intronis\u00e9e en 2018 Ville natale : Hull Cat\u00e9gorie: Athl\u00e8te R\u00e9alisations L’histoire de Jos\u00e9e Grand’Ma\u00eetre est sans pareille en racquetball au Canada. Au cours de sa carri\u00e8re de vingt-sept ans, Grand\u2019Ma\u00eetre a repr\u00e9sent\u00e9 le Canada trente-neuf fois sur le plan international, ce qui lui donne le record du plus grand nombre d’apparences internationales pour l’\u00e9quipe nationale en racquetball. […]<\/p>\n","protected":false},"author":9,"featured_media":0,"parent":0,"menu_order":0,"comment_status":"closed","ping_status":"closed","template":"","meta":{"_acf_changed":false,"footnotes":""},"class_list":["post-1329","page","type-page","status-publish","hentry"],"acf":[],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/pages\/1329","targetHints":{"allow":["GET"]}}],"collection":[{"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/pages"}],"about":[{"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/types\/page"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/users\/9"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=1329"}],"version-history":[{"count":5,"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/pages\/1329\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":19881,"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/pages\/1329\/revisions\/19881"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/racquetballcanada.ca\/fr\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=1329"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}